lundi 27 mars 2017

MAR26 VEGESUSHI PARTY in Paris

Chouette dégustation de sushis végés à la maison du saké, si on fait abstraction des pique-assiettes qui barrent l'accès au ravitaillement. Heureusement une courte discussion avec Jen, le sympathique "sommelier de légumes" de la bande aura justifié le déplacement: un livre de recettes est à venir, d'abord en japonais, puis dans d'autres langues.

MAR26 Portes Ouvertes de la Gare XP

J'avais le souvenir d'une Gare XP dans le fin fond du sud de Paris, la voilà à l'extrême Nord: chouette squat collectif sur plusieurs niveaux, expos sympas, balcons et jardinets gavés de monde (beau temps oblige), mais tellement gavés qu'on est même pas restés ni pour une bière, ni pour les concerts.

MAR25 Postcoïtum • Nyos • Travolta @L'Olympic Café // samedi 25 mars

EVT?EVL! qui organise en bas de chez moi, j'allais pas rater ça (enfin si j'aurais pu, mais comme j'étais malade j'ai préféré jouer à domicile ou presque).

On arrive pour Travolta et leur post-math-rock de l'an 2000, qui m'a rappelé direct Dragon Rapide et surtout les excellents et sautillants The Redneck Manifesto pour une chouette mise en oreilles, puis ce sont les sudistes de Postcoïtum qui ont enchainés avec leur electro-noise batterie-machines nettement plus convaincant dans le genre que Majeure (le demi Zombie vu en ouverture de Grails) même si à bien y réfléchir ça n'avait pas grand chose à voir en dehors de la formule.

Pour finir les deux finlandais de Nyos ont balancé un bon set de post-noise-metal plutôt enjoué, pas des plus original mais super bien envoyé: batteur impressionnant, gros son de guitare, bonne humeur communicative... j'en ai même chopé leurs 2 cédés.

MAR24 Sortie de "Je n'ai pas de projet professionnel"

Sous prétexte de sortir un nouveau livre de bédé, David Snug convie son propre groupe Trotski Nautique à honteusement cachetonner dans l'espoir de choper l'intermittence.

Si ça faisait longtemps que je n'avais pas vu le duo (ce soir trio), ça m'a fait bien plaisir de les retrouver avec un bon gros son de porc et dans la bonne ambiance qui témoigne d'une organisation de qualité.

Je leur ai même pris 2 cédés, mais bon j'avais qu'une pièce de 2€.

mercredi 22 mars 2017

MAR21 Fabrice Theuillon feat. ASHA "The Wolphonics" + Kit de Survie

Ah le festival Banlieues Bleues et son lot de découverte tant musicales que géographiques...

Direction Saint-Ouen et l'Espace 1789 pour une affiche placée sous le signe du métissage hip-jazz, ou jazz-hop, dont le succès nous aura fait rater la première partie (sold-out oblige) qui semblait pourtant pas mal.

Notre bonne étoile nous aura cependant permis d'accéder à la salle et de nous placer au tout premier rang pour assister à la prestation de Kit De Survie, énième projet banlieue-friendly de Serge Teyssot-Gay, entouré de Mike Ladd et Marc Nammour aux micros (et poésie urbaine), Médéric Collignon et Akosh S. au cuivres (et plus si affinités), et Cyril Bilbeaud à la batterie (ex-SLOY) pour un chouette moment de fusion rap-rock-jazz dans une ambiance très bon enfant.

mardi 21 mars 2017

MAR20 Super! Warpaint le 20 mars à l'Élysée Montmartre

Pas d'affiche pour le concert, comme c'est souvent le gars pour les "gros" groupes, et c'est dommage...

Pour la première partie, Dear Reader quatuor sud-afrinaco-new-yorko-sardo-russe ?!?!) résident à Berlin nous propose une pop for bien chantée avec beaucoup de claviers, de belles voix, un genre de violoncelle électrique, une batterie et des costumes assez improbables, mais c'est pas mal (quoi qu'un peu mou sur la longueur).

Warpaint ont fait du chemin depuis leur premier EP, et si j'avais été dérouté par la direction plus "electro" prise avec leur album éponyme et leur concert au Trabendo, leur dernier disque (Heads Up) m'avait bien réconcilié avec les 4 californiennes. Par contre entre le Trabendo, Rock En Seine et le concert d'hier, toujours le même problème sur scène: leur indolence (comme dans mollesse et nonchalence, oui) noyée dans les effets peine à convaincre. Je suis tout de même reparti avec un 7 pouces et la setlist (et j'aurais bien chopé leur 2e album, éponyme donc, si il avait été dispo), ainsi qu'avec ma dose de frustration.

PS: même pintée au blanc+eau gazeuse, en pantalon de pyjama+bottine et gilet de mamie+tish de son propre groupe, la bassiste reste la femme de ma vie que je n'aurais jamais.

lundi 20 mars 2017

MAR18 Beamz / Dakiniz / Fatima / Riot City Rejects / Vegg

Les concerts à 5 groupes ont ceci de positif que même avec un truc prévu en soirée, on peut espérer arriver à temps pour la tâte d'affiche... Après les 14 combats de la finale du championnat de France Elite A de Savate, le set de VEGG s'est révélé être le poing final idéal à la fièvre de ce samedi soir.

Super son (normal ça jouait à la maison?), super set (malgré la fin de soirée avait dû être bien arrosée), super blagues de Guillaume (caché derrière sa batterie), super présence scénique ("Olive bouge super bien quand même", m'a-t-on glissé à l'oreille)... le seul bémol aura été la reprise du dernier titre en guise de rappel, la faute à l'insistance des groupies?

jeudi 16 mars 2017

MAR15 Festival Sonic Protest 2017 : This Is Not This Heat / Heimat

Sonic Protest c'est super, une fois en première partie du pape de la japa-noise qui se produisait dans une église, yavait un DJ set de disques de SILENCE (pas le groupe, le non-son) c'est dire si la programmation est pointue et originale.

Cette fois je zappe le groupe d'ouverture pour la bonne cause (yoga) et j'arrive pile-poil avant la tête d'affiche, This Is Not This Heat: en gros This Heat sortis de leur chambre froide (pun intended), sauf Gareth Williams (qui lui en a été sorti pour reposer en paix) remplacé pour l'occasion par 4 autres musiciens dont Daniel O'Sullivan qu'on ne présente plus.

C'était pas This Heat mais c'était super, et si on attendait un truc un peu foutraque et lo-fi (les disques live du coffret "Out Of Cold Storage" documentent très bien cet aspect du groupe fin 70/début 80 quand même), on a surtout eu droit à un BEAU et BON concert qui a déroulé les "hits" no-wave-post-punk du groupe réinterprétés façon "grand ensemble" (ce qui me fait dire que Charles Hayward est quand même mieux au sein du groupe que dans son projet solo vu au BBMix il ya quelques années). Frissons et badge acheté (j'ai déjà le coffret).



mardi 14 mars 2017

MAR13 Grails x Majeure x Henryspenncer :: Glazart, Paris :: 13.03.2017

GRAILS m'auront d'abord mis claques sur claques avec leurs premier disques d'un post-rock-instrumental violoneux et classieux, puis avec leur concert à la Dame De Canton (à l'époque où la jonque ne s'appelait d'ailleurs peut-être pas comme ça...).

Et puis ils ont évolué vers un truc beaucoup plus personnel et touffu qui a fini par me perdre (malgré un chouette souvenir de concert à la Maroquinerie pour la sortie de "Doomsdayer's Holiday"), pour que je finisse par les retrouver avec 3 disques de retard à ce concert au Glaz'art.

Le groupe a changé et c'est normal, j'ai changé aussi... nous resterons donc amis en mémoire du bon vieux temps, mais j'ai trouvé ça assez chiant avec un tas de morceaux qui ressemblent à des fins sans fins (The Drift en définitivement moins jazzy?), et une seule vieillerie sur les deux en rappel qui m'aura vaguement fait vibrer (sinon Emil Amos prend toujours plus de place, comme si il n'en avait pas assez de grignoter les parts de Al Cisneros dans OM).

En ouverture j'ai eu droit à un morceau et demi de HENRYSPENNCER, nouvelle sensation post-metal-intrumental parigote, et au solos de batterie/électroniques vaguement insupportable de MAJEURE (pas comme le doigt même si ça démange...).

Dure soirée, au final je suis ptet trop vieux pour ces conneries.

MAR3 Sadique master festival (2017) 3éme édition






Conquis par ce que j'avais pu y voir l'année dernière, j'y retournais sur-motivé et bien malheureux de ne pouvoir me faire l'intégralité du fest (obligations tout ça...).

Tant pis ou tant mieux puisque les soucis techniques durant "Flesh To Play" (drame familial mexicain) ayant débouché sur l'interruption de la séance à 10 minutes de la fin m'auront dissuadé de rester pour la seconde séance. Parait que ça se finit bien... pas comme l'embryon d'histoire d'amour que je me plaisais à voir éclore avec ce festival auquel je doute de jamais retourner.